Elle réduit les symptômes associés à l’activité motrice, selon une étude menée à l’université Johns Hopkins.
L’une des causes des difficultés de l’activité motrice constatées dans la maladie de Parkinson serait un déficit de dopamine qui entraînerait un ralentissement de l’activité cérébrale puis de l’activité motrice.
Une étude menée à l’université Johns Hopkins de Baltimore (Maryland) a montré que la stimulation électrique du cerveau améliore cette activité motrice.
Stimulés électriquement, les neurones cérébraux retrouveraient temporairement une activité quasi-normale.