« Les développeurs investissent beaucoup de temps et de ressources pour créer des modèles IA optimisés, et il est important qu’ils puissent protéger ces investissements ». Ali Osman Ors, directeur de l’IA et du machine learning chez NXP Semiconductors, résume ainsi un problème qui se pose aux concepteurs, de plus en plus nombreux à insérer dans des microcontrôleurs et processeurs embarqués des modèles d’intelligence artificielle. Le fabricant néerlandais a d’ailleurs mis au point eIQ Model Watermarking, un outil permettant justement d’ajouter un copyright dans le modèle IA qui, comme c’est souvent le cas pour les logiciels classiques, sert à reconnaître un clone ou une copie non autorisée. Cette fonction est insérée dans l’environnement de développement eIQ de NXP, destiné à ses circuits EdgeVerse incluant les i.MX et i.MX RT.
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