Omicron aura donc en partie gâché le CES de Las Vegas, avec des défections à la chaîne parmi les géants du numérique (Google, Facebook, Microsoft, Amazon, IBM, Lenovo), de l’automobile (General Motors, BMW, Mercedes) et des télécoms (AT&T, T-Mobile, OnePlus). En partie seulement, car l’électronique grand public, qui constitue tout de même le cœur historique de l’évènement, restait bien représentée (Samsung, LG, Sony, etc.). En partie aussi parce que de nombreuses sociétés ayant renoncé à participer ou fortement réduit la voilure ont tout de même honoré l’occasion d’annonces importantes au moyen de livestreams et autres salons virtuels. Ce fut notamment le cas pour les fabricants de composants électroniques comme AMD, Intel, Nvidia, Qualcomm, Infineon, NXP ou encore Texas Instruments pour ne citer qu’eux. Malgré les travées en partie désertées de Las Vegas, l’innovation poursuit son bonhomme de chemin.