La semaine dernière a été marquée par la remise des Electrons d’or par notre magazine “Electroniques” et dont la 21è édition s’est tenue au Centre d’affaires Paris Trocadero le 26 juin dernier. La remise des Trophées a été précédée de deux tables rondes sur le thème de l’automobile, co-organisées avec Acsiel dans le cadre d’un évènement commun associant pour la troisième année consécutive la JTE et les Electrons d’or. Près de 200 personnes ont assisté à cet évènement. Pour avoir un panorama complet de cette journée exceptionnelle (laréats et photos de l’événement), consulter ce lien.
A retenir également le lancement d’un fonds d’investissement européen pour le haut débit doté d’un milliard d’euros sur 5 ans ainsi que le bilan de la couverture numérique en France. Le Fonds cible des régions et des zones typiquement rurales et faiblement peuplées où l’investissement privé doit être renforcé. Il est assuré par la Banque européenne d’investissement (BEI) et la Commission européenne, avec la banque publique allemande KfW, la Cassa depositi e prestiti italienne et la Caisse des Dépôts en France. Il été créé pour répondre à la demande croissante de financement de projets haut débit de moyenne dimension en Europe, qui n’ont actuellement pas facilement accès à un financement. En France, plus de 2000 pylônes existants ont été équipés en 4G. Pour déployer une couverture mobile de qualité dans les zones non ou mal couvertes par les opérateurs, 485 nouveaux sites à équiper en priorité ont été identifiés, en accord avec les collectivités territoriales.
Dans l’actualité de la semaine passer, il faut aussi noter la levée de fonds de 35 M$ opérée par la start-up Dreem, à l’origine d’un bandeau sensé endormir l’utilisateur et lui assurer un sommeil réparateur, la coopération entre Panasonic, Qualcomm et Ford dans le domaine de la technologie C-V2X (Cellular Vehicle-to-Everything) – il s’agit du premier déploiement de la technologie C-V2X aux Etats-Unis -, l’ouverture du premier service de véhicules autonomes à la demande à Rouen, ainsi que du recentrage de General Electric sur des activités liées à l’électricité, aux énergies renouvelables et à l’aéronautique. Il se sépare en effet de sa branche santé, GE Healthcare.