Après les imageurs Cmos, le japonais abandonne les LED blanches, consolide sa fabrication de circuits intégrés et coupe dans ses charges fixes.

Toshiba poursuit sa restructuration induite notamment par un récent scandale financier. Le premier fabricant nippon de semi-conducteurs avait déjà annoncé la vente de ses imageurs Cmos à son compatriote Sony. Sony n’étant intéressé que par les lignes de production sur tranches de 300mm de l’usine d’Oita de Toshiba, ce dernier va consolider les autres lignes du site, équipées en 150mm et 200mm, avec celles d’Iwate au sein d’une seule filiale qui produira à la fois les composants catalogue et les Asic du japonais.

Toshiba a également pris la décision d’arrêter ses activités en diodes électroluminescentes blanches pour concentrer ses activités en composants discrets vers la puissance et l’optique. Enfin, un plan de départ anticipé à la retraite a été mis en oeuvre. L’objectif est de réduire de 26 milliards de yens (200 M€) les charges fixes entre les années fiscales 2014 et 2016.