Entre 2014 et 2018, Legrand a fait progresser ses ventes de produits connectés de 28% par an et doublé son nombre de familles de produits connectés à plus de 40 à fin 2018.
Lors de sa journée investisseurs organisée le 12 juin à Paris, Legrand a fait le point sur sa stratégie en matière d’objets connectés à travers les réalisations du programme Eliot, sur la contribution de Netatmo au développement des offres connectées du groupe, et sur son offre d’infrastructures numériques (notamment les datacenters), une activité essentielle au déploiement des objets connectés dans les bâtiments.
Entre 2014 et 2018, Legrand a fait progresser ses ventes de produits connectés de 28% par an et doublé son nombre de familles de produits connectés à plus de 40 à fin 2018, atteignant avec deux ans d’avance les objectifs qu’il s’était fixés. Legrand réalise d’ores et déjà plus de 10% de son chiffre d’affaires avec des produits de son offre d’objets connectés Eliot.
Legrand a ainsi développé avec succès une offre connectée à plus forte valeur d’usage destinée d’une part aux bâtiments tertiaires (64% des ventes de produits connectés en 2018) et d’autre part, aux bâtiments résidentiels (36% des ventes de produits connectés en 2018) avec notamment des gammes d’interfaces utilisateurs, de portiers, de thermostats et d’assistance à l’autonomie.
Sur cette base et fort de l’arrivée de Netatmo, dont le savoir-faire numérique vient renforcer le dispositif du groupe, Legrand se fixe de nouveaux objectifs ambitieux5 dans le cadre de son programme Eliot : une croissance organique annuelle moyenne à deux chiffres des ventes de produits connectés entre 2018 et 2022 et un chiffre d’affaires réalisé avec des produits connectés de plus d’un milliard d’euros en 2022, hors acquisitions et hors effet de change.
Dans le domaine des infrastructures numériques, Legrand a poursuivi son développement dans une activité essentiel au déploiement de l’IoT. Aussi, en 10 ans, Legrand a multiplié par plus de quatre la part de ses ventes réalisées dans les infrastructures numériques, passant de près de 5% de son chiffre d’affaires en 2008 à 20% en 2018, soit environ 1,2 milliard d’euros.