Arck Electronique est un sous-traitant en électronique pour l’aéronautique et le spatial. Agora Industries repose maintenant sur cinq filiales à activités en électronique et en mécanique pour les domaines high tech.
Le groupe Agora Industries vient de racheter à Segula Technologies, société de conseil en ingénierie et innovation, Arck Electronique (49 personnes, 3,3 millions d’euros de chiffre d’affaires 2012), un sous-traitant en électronique pour l’aéronautique, le spatial et l’automobile.
Basé à Ramonville-Saint-Agne (31), Arck regroupe des activités d’assemblage de cartes, d’intégration de matériels électroniques et de réalisation de câbles et faisceaux de câbles.
Arck rejoint le pôle électronique d’Agora constitué jusqu’alors de Microtec (45 personnes, 3,4 M€ de CA 2011), sous-traitant basé à Labège (31), offrant des prestations d’études, de câblage de cartes électroniques ainsi que de matériels électroniques, et de réalisation de câbles et faisceaux de câbles à destination de donneurs d’ordres du spatial, de l’aéronautique et défense, et de l’automobile.
«Outre les activités de conception et de réalisation de banc de tests et de maquettes sur lesquelles Microtec excelle, Arck Electronique apporte des savoir-faire de maintenance aéronautique et de production en série dont nous ne disposions pas», a déclaré Christian Saubion, le nouveau président d’Arck, déjà président de Microtec.
Quant à Michel Laville, directeur général d’Arck Electronique au sein de Segula Technologies, il conserve ses fonctions.
Arck Electronique constitue la cinquième filiale du groupe Agora Industries qui incluait déjà les sous-traitants en mécanique Comat Aerospace (70 personnes, 6,9 M€ de CA 2011) et Société Nouvelle Lafourcade, la société de services Anthea Expertises et le sous-traitant en électronique Microtec.
Avec cette acquisition Agora Industries s’appuie sur 210 personnes pour un objectif de chiffre d’affaires 2013 dépassant les 18 M€.
Et Agora Industries va poursuivre sa stratégie de croissance externe. L’objectif de ce groupe, créé à partir du rachat de PME high tech, est en effet de dépasser les 250 salariés.