Adlink compte sur l’Internet des objets pour trouver des nouveaux relais de croissance et rachète une sociĂ©tĂ© britannique spĂ©cialisĂ©e dans les plates-formes logicielles dĂ©diĂ©es Ă l’IoT.
Lors de la cĂ©rĂ©monie des 20 ans d’Adlink, qui s’est dĂ©roulĂ©e en septembre dernier Ă Shanghai, Daniel Yang, prĂ©sident de cette sociĂ©tĂ© taiwanaise spĂ©cialisĂ©e dans les solutions matĂ©rielles et logielles embarquĂ©es, nous avait confiĂ© que l’Internet des objets constituait l’une des applications qu’il comptait explorer afin de trouver de nouveaux relais de croissance pour son entreprise. Adlink est d’ailleurs Premier Member de l’Alliance des solutions pour l’Internet des objets d’Intel.
Trois mois plus tard, le taiwanais franchit une Ă©tape supplĂ©mentaire vers l’Internet des objets avec l’annonce du rachat de PrismTech, une sociĂ©tĂ© britannique spĂ©cialisĂ©e dans les plates-formes logicielles dĂ©diĂ©es Ă l’Internet des objets industriels. Le montant de la transaction n’a pas Ă©tĂ© dĂ©voilĂ©.
FondĂ©e en 1992 Ă Newcastle, PrismTech compte environ 70 salariĂ©s et dispose de bureaux en France, aux Pays-Bas, aux Etats-unis et au Canada. La filiale française de PrismTech fait partie de S3P, un consortium français crĂ©Ă© il y a quelques jours et dĂ©diĂ© Ă la rĂ©alisation d’un environnement de dĂ©veloppement et d’exĂ©cution logicielle dĂ©diĂ© Ă l’Internet des Objets.