Intel France est née le 29 octobre 1974 à Rungis. Au cours de ces quarante ans, la présence d’Intel en France s’est fortement accentuée en passant d’une seule structure à six sites, dont cinq laboratoires de R&D spécialisés dans les technologies mobiles et les infrastructures du calcul intensif.
Intel France fête ses quarante ans. D’une seule structure à l’origine, basée à Rungis, Intel France se départage en six entités aujourd’hui à Meudon, Sophia-Antipolis, Toulouse, au campus Teratec dans l’Essonne, à Montpellier et à Nantes. Cette évolution positive, qui s’est pour beaucoup inscrite depuis 2009 dans une accélération marquée vers la R&D en matière de technologies mobiles et d’infrastructures du calcul intensif, permet au groupe Intel France de compter aujourd’hui près d’un milliers d’employés, dont plus de 80% de chercheurs et ingénieurs travaillant en R&D.
Dans les deux grandes spécialisations R&D du groupe Intel France, les projets développés s’inscrivent dans un futur proche. A travers la réunion des compétences et des savoir-faire de ses sites de Sophia-Antipolis, de Toulouse, de Montpellier et de Nantes, Intel France travaille activement autour des technologies mobiles et de cette réalité déjà en marche d’appareils toujours plus fins et autonomes, toujours connectés et tournés vers de nouveaux usages. De cet univers tout-connecté qui demain apportera la garantie d’un confort d’utilisation et d’une interopérabilité quel que soit le type de terminal ou la norme réseau adoptés, d’une liberté de connexion repoussée toujours plus loin grâce à des modules sans fil et cellulaires encore plus évolués.
Mais également dans le domaine des futurs supercalculateurs exascales. D’ici 2020 selon les prévisions, ces derniers présideront à l’avènement de supercalculateurs mille fois plus puissants et performants pour une consommation énergétique seulement dix fois supérieure qu’actuellement. La promesse déjà d’un véritable bond en avant des applications dans la santé (autour de l’analyse du génome notamment), les géosciences, les énergies nouvelles, la météorologie, la science des matériaux avec les nanotechnologies, etc. Pour atteindre cet objectif vertigineux par ses données, une approche collaborative très forte sera nécessaire entre partenaires académiques ou industriels. Depuis ses débuts, c’est tout le principe du laboratoire ECR (Exascale Computing Research), qui entend en être le catalyseur pour la France.
