Ce livre blanc propose une présentation claire et synthétique de la technologie du photovoltaïque organique (OPV), et de ses applications. Celle-ci consiste à déposer des couches d’encres organiques sur une pellicule plastique souple.
DisaSolar, PME française implantée à Limoges et spécialiste du photovoltaïque de 3ème génération – ou photovoltaïque organique – vient d’annoncer la publication du livre blanc “L’électronique imprimée au service du photovoltaïque de 3ème génération”. La réalisation de cet ouvrage a été confiée à Michel Cruciani, économiste chargé de mission au Centre de géopolitique de l’énergie et des matières pemières de l’université Paris Dauphine, avec le soutien de l’Afelim, l’Association française de l’électronique imprimée. Il est téléchargeable ici.
Ce livre blanc propose une présentation claire et synthétique de la technologie du photovoltaïque organique (OPV), et de ses applications. Il vise à faire appréhender les enjeux de cette innovation de rupture et le potentiel qu’elle recèle en termes de développement économique. Issu des technologies de l’électronique imprimée, le photovoltaïque organique ne requiert plus la fabrication de panneaux tels que nous les connaissons. Cette technologie consiste à déposer des couches d’encres organiques sur une pellicule plastique souple permettant ainsi de disposer de modules photovoltaïques producteurs d’énergie bon marché, écologiques et sur-mesure.
Cette filière industrielle naissante aura vocation à entraîner le développement d’activités économiques et la création d’emplois liés à la fabrication de ces panneaux de 3ème génération. Elle permettra également l’apparition de nouveaux produits pour la mobilité, l’électronique grand public ou le bâtiment, qui pourront eux-mêmes déboucher sur des services innovants liés, par exemple, à la sécurité, la traçabilité ou le confort.
“La révolution de l’électronique imprimée est en marche. Pour une fois, la France est en tête de la course. C’est donc une opportunité de redressement qu’il ne faut pas laisser échapper ! “, déclare Stéphane Poughon, président de DisaSolar.