Robolution Capital, premier fonds d’investissement dédié exclusivement à la robotique de services, a pour objectif de contribuer activement au développement du secteur sur le continent européen.
Le fonds Robolution Capital investira dans des entreprises robotiques françaises et européennes. Il réunit des investisseurs, institutionnels, industriels et privés (dont le Fonds européen d’Investissement, AG2R, La Mondiale, Bpifrance, Orange, EDF et Thales).
Robolution Capital, le fonds d’investissement européen dédié à la robotique, vient d’annoncer qu’il a levé, dans le cadre de son premier tour de table, un montant de 80 M€, supérieur à son objectif initial, fixé par ses initiateurs, Bruno Bonnell et la société de gestion Orkos Capital.
La France et l’Europe possèdent un savoir-faire, une recherche et des entrepreneurs de grands talents dans la robotique et ce secteur constitue un domaine de développement d’avenir pour l’industrie française et européenne.
La robotique va émerger, à l’instar d’Internet dans les années 90, comme une industrie à part entière avec un impact sur l’ensemble des secteurs d’activité.
Robolution Capital, premier fonds d’investissement dédié exclusivement à la robotique de services, a pour objectif de contribuer activement au développement du secteur sur le continent européen en soutenant par ses investissements les entreprises spécialisées sur le marché de la robotique de services domestique et professionnelle.
Ces robots de nouvelle génération, dotés de capacités d’actions et d’adaptations autonomes (drones, voitures autonomes, robots de surveillance ou d’inspections, robots médicaux,
robots nettoyeurs, robots agricoles, robots d’assistance à la personne, robots majordomes, robot de construction,…) annoncent une véritable rupture dans les modes de vie quotidiens et les pratiques professionnelles.
L’émergence du marché des objets intelligents a déjà commencé et marque la première étape de cette « robolution ». Estimé à 17 milliards d’euros en 2013, le marché de la robotique de services devrait atteindre 100 milliards d’euros en 2018, selon les prévisions de l’IFR (Institut français de robotique) de 2013.