La semaine dernière, les États-Unis ont accordé une dérogation à durée indéterminée aux fabricants de composants sud-coréens afin qu’ils puissent introduire du matériel de production américain en Chine.
Cette fois-ci, c’est au tour de TSMC d’en faire la demande. En effet, l’an passé, le gouvernement américain avait donné une autorisation d’un an au fondeur taïwanais pour qu’il puisse importer du matériel américain dans son usine chinoise située à Nanjing.
Pour pouvoir bénéficier d’une autorisation permanente, TSMC devra très certainement adhérer au programme « utilisateur final validé » (VEU) mis en place par le gouvernement américain pour recevoir des exportations sans autorisation distincte.