Selon le cabinet Décision et le Simtec, il s’établirait à quelque 354 millions d’euros.
Moins sensible à la crise du fait de sa diversité, le marché français de l’instrumentation, de la mesure et du test pourrait reculer de 12,8% cette année, à 354,2 millions d’euros contre 406 millions d’euros en 2008, année où il avait été sensiblement égal à celui de 2007. Tel est le résultat d’une étude menée par le cabinet Décision en collaboration et à la demande du Simtec (syndicat de l’instrumentation de mesure, du test et de conversion d’énergie dans le domaine de l’électronique).
Cette même relative insensibilité à la crise pourrait toutefois amener à un nouveau recul compris entre 3,8% et 5,4% en 2010, alors que dans d’autres pays européens plus touchés en 2009 la tendance serait à une légère reprise.
En 2008, selon l’étude de Décision, le premier marché pour la mesure a été le marché professionnel (militaire, aérospatial et gouvernement) avec une part de 27% devant les télécoms (26,3%) et l’éducation et la recherche (18,1%). Il devrait le rester en 2013 avec une part de 27,7%, tandis que le secteur de l’éducation et la recherche (20,4%) ravira la deuxième place aux télécoms (19,6%).
Nous reviendrons plus en détail sur cette étude dans le numéro d'”Electronique International” à paraître le 15 octobre 2009.
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