Atos cherche à se désendetter. Plus précisément, le géant de l’informatique a indiqué étudier la cession d’actifs bien au-delà des 400 millions d’euros envisagés en juillet afin d’honorer ses échéances de financement. Pour cela, la direction et le conseil d’administration considèrent que la vente de l’activité « Big data & Security » (BDS) serait un élément déterminant. Le géant de l’informatique a, à ce jour, reçu deux marques d’intérêt pour cette branche. Seul un des deux noms a été révélé : il s’agit d’Airbus. Atos va ainsi « ouvrir une phase de due diligence avec le constructeur aéronautique dont l’offre indicative d’une valeur d’entreprise de 1,5 à 1,8 milliard d’euros porte sur l’intégralité du périmètre BDS », écrit l’entreprise dans un communiqué. Dans le même communiqué, Atos a aussi indiqué être toujours en négociations exclusives avec EPEI sur la cession de Tech Foundations (comprenant ses activités d’infogérance).