L’idée fait son chemin. Lentement et discrètement. Et pour cause, puisqu’il est question de délocaliser des activités de R&D à l’étranger et plus particulièrement en Asie. A priori, la chose est moins évidente que s’il s’agissait d’expédier des capacités de production dans cette partie du monde. En d’autres termes, le transfert de connaissances pose, dans…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.