« Mieux vaut s’associer avec un groupe chinois que d’attendre de se faire tailler des croupières », déclarait il y a quelques semaines Charles Dehelly, directeur général de Thomson à l’occasion d’un entretien au Figaro. Cette réflexion a évidemment ravivé les craintes des 1 150 salariés présents à Angers, sur l’unité de production de téléviseurs. Les syndicats estiment…
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