L’électronique française a connu bien des chocs dans le passé mais leur violence n’a jamais atteint celle du tremblement de terre de 2001-2003. La composante “ délocalisation ” de cette crise reste malheureusement d’actualité en 2004 et ne cesse d’inquiéter. Nous avons demandé à Jacques Bouyer, dernier président en exercice du Groupement des industries électroniques, groupement qui…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.