Les deux groupes sont plus concurrents que complémentaires en Europe (PSA possède 12 usines d’assemblage sur notre continent et Opel en compte 8). Aussi, si cette alliance devait se concrétiser, il y a fort à craindre que des sites puissent fermer.
D’abord révélées par le site latribune.fr, puis par le Financial Times, les négociations engagées entre le constructeur automobile français PSA et l’américain General Motors ont été confirmées sur Europe 1 par le ministre du Travail, Xavier Bertrand.
Une alliance permettrait à PSA de rattraper son retard en Amérique latine et en Inde, d’accéder au marché américain et de réaliser des économies d’échelle sur l’achat de composants, affirme latribune.fr. Cependant, les deux groupes sont plus concurrents que complémentaires en Europe (PSA possède 12 usines d’assemblage sur notre continent et Opel en compte 8). Aussi, si cette alliance devait se concrétiser, il y a fort à craindre que des sites puissent fermer. Celle-ci pourrait être annoncée au salon automobile de Genève début mars.