Le tribunal de commerce de Rennes a validé l’opération hier. Lacroix complète ainsi sa R&D avec les centres de Bruz, proche de Rennes, Fontaine, dans la banlieue de Grenoble, et Quimper. Il s’appuie dorénavant sur un effectif de 99 personnes en études.
Hier 26 mai, le tribunal de commerce de Rennes a validé le plan de reprise par le sous-traitant Lacroix Electronics, de l’activité R&D de TES Electronic Solutions en redressement judiciaire depuis février dernier.
Lacroix Electronics complète ainsi sa partie études avec les centres de Bruz, proche de Rennes, de Fontaine, dans la banlieue de Grenoble, et de Quimper. Rappelons que Lacroix s’appuie déjà sur trois bureaux d’études européens : Vern-sur-Seiche (près de Rennes), Ramonville (dans la banlieue de Toulouse) et Willich (proche de Düsseldorf).
Dans la pratique, l’équipe TES de Bruz rejoindra Vern-sur-Seiche qui renforce ainsi ses compétences en électronique embarquée.
Le bureau d’études de Fontaine, qui est spécialisé en réseaux logiques programmables et en électronique numérique, assure à Lacroix une présence qui lui manquait jusqu’alors en Rhône-Alpes, une région industrielle forte.
Quant à Quimper, qui opère en mécanique et en qualification de produits, Lacroix note qu’il complète son centre de Toulouse spécialisé, lui, en aéronautique.
Avec ce renfort, l’activité études de Lacroix Electronics s’appuie aujourd’hui sur 99 ingénieurs et techniciens.