Encore une fois cette semaine, la pénurie de composants électroniques dessine l’actualité. Afin de s’assurer de ne pas manquer d’électronique de puissance, Renault s’associe avec STMicroelectronics. Siemens, lui, assure être en capacité de gérer la pénurie mondiale de semi-conducteurs. Quant aux Etats, ils mettent de l’argent sur la table afin de répondre aux enjeux de souveraineté : l’Allemagne se dit prête à doubler les aides pour les semi-conducteurs, et aux Etats-Unis la secrétaire d’État au Commerce presse les législateurs de prendre les mesures nécessaires pour le financement de la production et de la recherche sur les semi-conducteurs.