La start-up avait déjà levé 2 millions d’euros en septembre 2016 auprès d’investisseurs classiques (1M€) et auprès de la plateforme Anaxago (1M€).
Rebelote pour Wistiki, start-up française à l’origine d’un dispositif de type porte-clés permettant, avec l’appui d’un smartphone, de retrouver des objets égarés. En effet, après avoir levé pour 2M€ de fonds en septembre 2016, Wistiki a récidivé en février en levant 2M€ supplémentaires.
Comme en septembre 2016, cette levée de fonds s’est faite, à hauteur de 1M€, auprès d’investisseurs classiques (compagnie d’assurances Scor…) et d’industriels (famille Bouygues, Xavier Niels propriétaire de Free, Stéphane Richard, Pdg d’Orange, Fabrice Brégier, Pdg d’Airbus…), et, à hauteur de 1M€, auprès d’investisseurs particuliers (financement participatif ou crowdfunding) via la plateforme Anaxago.
Cette levée de fonds complémentaire à celle de septembre, réalisée via Anaxago, a été possible du fait d’une réforme concernant le montant maximal des collectes opérées via les plateformes de financement participatif. En effet, en octobre 2016, le plafond, qui était de 1M€, a été relevé à 2,5M€.
Avec cet argent, Wistiki ambitionne de davantage se développer à l’international. La start-up vise notamment la Corée du Sud et les Etats-Unis ainsi qu’une accélération de ses ventes au Japon où elle est présente depuis l’an passé. Pour fin 2017, Wistiki vise notamment le million de porte-clés vendus aux Etats-Unis.
Wistiki a été créée en 2013 par les frères Lussato. En 2015, l’entreprise a étoffé son offre avec la gamme « By Starck » de dispositifs premium designés par Philippe Starck.