Microchip, Texas Instruments, Cypress, Fairchild, Lattice, Rohm ou encore NXP proposent désormais des contrôleurs tirant profit des possibilités étendues de la nouvelle norme USB en termes de débit de données, de puissance de charge et de souplesse d’utilisation.
Rappelons ici les avantages de l’USB 3.1 type C. Son nouveau connecteur, réversible et plus compact que l’actuel connecteur USB, est compatible avec la spécification UPD (USB Power Delivery) 2.0, qui prévoit la possibilité de générer jusqu’à 100W (soit 5 A sous 5, 12 ou 20 V) à partir d’un port USB3.1 ad hoc , ce qui étend considérablement le champ des possibles, notamment en matière de recharge de batteries. En outre, la spécification USB3.1 ouvre la voie à la transmission de signaux non-USB à travers une connectique type C, avec, en premier cas d’école, l’exemple d’une liaison DisplayPort pour écran. Enfin, le débit maximal est porté à 10 Gbit/s. Jusqu’à présent, les composants capables d’exploiter ces possibilités nouvelles étaient encore rares (FPGA iCE40 chez Lattice Semiconductor, circuits configurables PSoC4 dédiés chez Cypress Semiconductor…), mais l’offre s’est considérablement étendue depuis l’été.
A découvrir dans le numéro d’octobre de notre magazine “ElectroniqueS”.