Pour Stéphane Gaston, chef de travaux au lycée Gustave-Ferrié, qui se veut le lycée parisien de l’électronique, le bac professionnel SEN (Systèmes Electroniques Numériques) ouvre de larges perspectives en termes de secteurs d’activités et de poursuite d’études, notamment en BTS et en licence. L’électronique jouit-elle d’un attrait spécifique ou d’une image particulière vis-à-vis des élèves…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.