Au terme de ce placement, l’Etat reste le premier actionnaire de Safran, avec 18,03% de son capital (17,44% en cas d’exercice de l’option de surallocation).
Les pouvoirs publics a engagé, via l’Agence des Participations de l’Etat, la cession de 3,96% du capital de Safran (soit 16,5 millions d’actions), avec option de surallocation pouvant porter ce pourcentage à 4,55% (soit un nombre maximum de 18,975 millions d’actions). Les titres proposés ont été placés en totalité auprès d’investisseurs institutionnels.
Au terme de ce placement, l’Etat reste le premier actionnaire de Safran, avec 18,03% de son capital (17,44% en cas d’exercice de l’option de surallocation). Les droits de vote double dont dispose l’Etat lui permettent de maintenir son influence à l’assemblée générale de l’entreprise.
Cette cession s’inscrit dans le cadre d’une politique de gestion active des participations de l’Etat, qui doit permettre de préserver les intérêts patrimoniaux et stratégiques de l’Etat tout en dégageant des ressources pour contribuer à l’effort de désendettement et réinvestir dans des entreprises de secteurs porteurs de développement économique.
L’opération rapportera à l’Etat environ 1 milliard d’euros.