Afin d’éviter les échecs, mieux vaut s’adresser à un club d’investissement, tel SeedIL, qui fonctionne sur le principe du financement participatif, le fameux “crowdfunding”.
Selon une étude internationale, datant de décembre 2012 et réalisée par le cabinet américain Startup Genome Compass, Tel-Aviv était alors classée 2è ville high-tech du monde après l’indétrônable Silicon Valley, avec nombre de start-up opérant à partir de cette ville (tandis que Paris était classée en 11è position).
5 milliards de dollars destinés à des rachats ont été investis par des groupes internationaux tels que Google, Facebook, Cisco, Apple, auprès de start-up locales. Cependant, sans connaître l’hébreu et la culture israélienne, il semble risqué d’investir en Israël et certains investisseurs en ont expérimenté un échec après s’être lancés seuls à la recherche de la pépite sensée leur rapporter un retour sur investissement conséquent.
Afin d’éviter ces échecs, mieux vaut s’adresser à un club d’investissement, tel SeedIL, qui fonctionne sur le principe du financement participatif, le fameux “crowdfunding”. Ce club est spécialisé dans les investissements en Israël. Les start-up proposées sont triées par une équipe de professionnels qui opère sur place depuis de nombreuses années. Ce club d’investisseurs gère en outre toute la partie administrative et légale, et donne la possibilité à l’investisseur de s’impliquer personnellement dans le projet de la start-up dans laquelle il a investi s’il en éprouve le souhait et s’il en a la capacité.
Le ticket d’entrée est de 25000 euros selon le site siliconwaldi.fr, dédié à l’exploration de l’innovation en Israël, avec comme objectif de fournir au public académique et professionnel, les informations nécessaires pour encourager la coopération, l’investissement, les fusions et co-entreprenariat avec les entreprises israéliennes du secteur high-tech.