Le câblier Leoni affirme avoir franchi un palier significatif vers la réduction de l’empreinte carbone avec sa gamme de produits verts Limeverse pour les véhicules.
Aux dires de la société allemande, le point fort du câble Limeverse réside dans son matériau isolant spécial : Il utilise un nombre croissant de matériaux biosourcés « à base de matières premières durables et/ou renouvelables au lieu du pétrole brut, ce qui est vérifiable à l’aide du biocarbone selon la méthode d’essai standard ASTM D6866. Il existe également des plastiques à masse équilibrée, dont la synthèse dans les réacteurs de l’industrie chimique pourrait encore réduire le besoin de matières premières à base de pétrole grâce à des matières premières biosourcées ». En comparaison des câbles de véhicule et de charge classiques, Leoni indique une réduction de 50% de l’empreinte carbone. Par ailleurs, que ce soient des câbles de véhicule unipolaires, des câbles de capteurs multipolaires, des câbles coaxiaux de transmission de données ou de charge et des câbles plats extrudés, Limeverse couvre toutes les applications. Outre les composés PVC, la gamme de produits comprend également du polypropylène (PP) et du TPE-U, affichant une résistance aux températures allant jusqu’à 125°C.
La préoccupation environnementale ne date pas d’hier chez Leoni, qui se plaît à rappeler que, « dès la crise énergétique des années 1970, l’entreprise a développé un câble automobile au diamètre extérieur réduit pour répondre à la raréfaction des ressources. Sous le nom de Flry, il est devenu la nouvelle norme dans l’industrie automobile. Leoni est restée fidèle à cette approche et propose aujourd’hui une large gamme d’applications durables ».