Les États-Unis mettent la pression sur les Pays-Bas pour qu’ils suivent leurs exigences à propos des restrictions à l’exportation vers la Chine.
Selon les informations de Reuters, Washington demanderait à ce qu’ASML cesse de réparer certains équipements vendus à des clients chinois.
Cette situation revient à un casse-tête pour le gouvernement néerlandais. Officiellement, Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas, ne souhaite pas prendre de décision générale concernant les exigences américaines, mais laisse sous-entendre que son pays refusera les demandes chinoises de maintenance pour les équipements de fabrication de puces. Cette position complique un peu plus les efforts néerlandais pour retenir ASML sur le sol natal.