Mercredi, un groupe d’entreprises, dont ASML, a demandé au parlement néerlandais de soutenir les politiques qui stimuleront l’industrie des puces aux Pays-Bas.
Ils ont notamment requis la conservation des allègements fiscaux sur les investissements et sur la main-d’œuvre étrangère qualifiée.
« ASML doit continuer à se développer pour répondre à l’énorme demande de puces électroniques et nous vous demandons de rendre cette croissance possible, de préférence aux Pays-Bas, où nous atteignons nos limites », a déclaré Frank Heemskerk, responsable des affaires internationales d’ASML, devant les législateurs.
L’incohérence des politiques, l’excès de bureaucratie et les mesures proposées pour réduire l’immigration ont été pointés du doigt.
D’autres fabricants comme NXP, Besi et ASM International ont également demandé que les actions menées dans le cadre de l’opération Beethoven, visant à investir 2,5Md€ pour conserver ASML dans le pays, soient plus largement appliquées.