Avec plus de trois millions d’exemplaires vendus et 15% des actifs numériques dans le monde protégés par une clé de la licorne Ledger, c’est un courant de démocratisation des cryptoactifs, induisant « une croissance exponentielle », qui a encouragé son partenariat avec le sous-traitant Lacroix. Ce dernier produit depuis quelques mois les cartes électroniques des clés de sécurisation Nano de Ledger. Elles seront également fabriquées dans la nouvelle usine Symbiose (Maine-et-Loire) qui ouvrira ses portes dans les prochains mois.
D’après Pascal Gauthier, le P.-D.G. de Ledger, « […] c’est donc sans aucune difficulté que nous avons choisi de nous associer au Groupe Lacroix pour la production de nos cartes électroniques, éléments clefs de notre produit phare, le Nano S et X. En effet, nous avons fait ce choix parce que nous sommes convaincus que Lacroix est à même de nous amener sécurité, agilité, qualité et volume. C’est essentiel au stade de développement critique auquel nous nous trouvons et en pleine expansion de notre marché corrélée à l’adoption en forte croissance des cryptoactifs à travers le monde ».
Quant à Cédric O, Secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, « ce partenariat est emblématique de la nouvelle place qu’occupe la French Tech dans l’économie française. En quelques années seulement, les start-up sont devenues des moteurs de croissance et de création d’emplois et ce sur tout le territoire, à l’instar de Ledger à Vierzon. Alors que l’écosystème ne comptait que trois licornes en 2017, il en compte désormais dix-neuf dont Ledger depuis quelques mois, et la French Tech devrait dépasser les 10Md€ levés en 2021 ».