Lancé pour 10 ans début 2014, Ecsel sera doté d’un budget de 4,8 milliards d’euros, dont 1,2 milliard d’euros apporté par l’Union européenne, 1,2 milliard par les Etats membres qui y participeront et 2,4 milliards par les industriels.
L’initiative technologique conjointe européenne en nanoélectronique Eniac et son homologue dans les systèmes électroniques embarqués Artemis ont annoncé leur regroupement en juillet sous le nom d’Ecsel, – Electronic Components and Systems for European Leadership -, une nouvelle initiative commune européenne de recherche et d’innovation qui couvrira à la fois les domaines des composants et des systèmes électroniques.
Lancé pour 10 ans début 2014, Ecsel sera doté d’un budget de 4,8 milliards d’euros, dont 1,2 milliard d’euros apporté par l’Union européenne, 1,2 milliard par les Etats membres qui y participeront et 2,4 milliards par les industriels.
L’objectif est de développer des synergies par rapport aux deux initiatives conjointes précédentes, en y ajoutant également la recherche et l’innovation sur les systèmes intelligents (“smart systems”). Ses travaux porteront ainsi sur la nanoélectronique, les systèmes intégrés intelligents et les systèmes embarqués.
Ecsel fera travailler ensemble des laboratoires académiques, des grandes entreprises et des PME et sera soutenue par trois associations industrielles (Artemisia, Aeneas et EPoSS). 25 pays membres de l’Union européenne participeront à son financement.