Arjowiggins avait fait parlé d’elle il y a quatre ans avec la mise au point d’un papier intégrant des tags NFC et des étiquettes RFID.
Suite à la mise en redressement judiciaire des sites du groupe de production papetière Arjowiggins, les candidats à la reprise ont déposé leurs offres auprès des administrateurs judiciaires.
Ces offres concernent les deux principaux sites du groupe situés dans la Sarthe : papiers couchés, localisé à Bessé-sur-Braye (648 salariés) et Le Bourray, dont l’usine est située à Saint-Mars-La-Brière (293 salariés). Des offres ont également été formulées pour le site spécialisé dans le papier recyclé de Greenfield situé à Chateaux-Thierry dans l’Aisne (76 salariés).
Ces offres vont maintenant être analysées par les administrateurs judiciaires chargés du dossier d’ici les audiences de reprise prévues devant le tribunal de commerce le 27 février pour le site de papiers couchés et le 6 mars pour les autres sites.
Arjowiggins avait fait parlé d’elle il y a quatre ans avec la mise au point d’un papier intégrant des tags NFC et des étiquettes RFID. Le produit, connu sous le nom de « PowerCoat Alive » était destiné à fournir aux utilisateurs des feuilles de papier-NFC uniformes et industrielles qu’ils pourraient alors utiliser pour la fabrication d’emballages, étiquettes, cartes de visite ou d’autres produits à base de papier qu’ils souhaitent suivre électroniquement.